Belon

Nom masculin.

Du « Bélon » nom d’un petit fleuve côtier de Bretagne. Il

Variété d’huître de Bretagne, ronde et plate, élevée dans les parcs à
huîtres de la rivière, Bélon.
Par exemple: « une douzaine de belons ».

Biesse

Nom masculin.

Du wallon « biesse » issu du latin « bestia » qui signifie bête.

Belgique
Familier
Idiot, bête.

Faucon

Nom masculin.

Emprunté au latin « falco, falconis » qui signifie faucon. Probablement
calqué de l’anglais « hawk » littéralement faucon, ce terme ayant servi
aux USA pour désigner les partisans d’une attitude intransigeante, par
opposition aux colombes partisans d’une politique conciliante.

1- Ornithologie
Oiseau rapace diurne, caractérisé par une vue perçante, un bec et des griffes
en forme de faux et dressé autrefois pour la chasse.
Par exemple: « un faucon pèlerin ».

2- Canon de petit calibre qui lançait des boulets d’un quart de livre ou
d’une demi-livre.

3- Au figuré
Politique
Qui est partisan d’une politique dure, d’une solution de force.
Par exemple: « les faucons réclament une réponse inflexible ».

Paraskevidekatriphobie

Nom féminin.

Du grec « paraskevi » qui signifie vendredi, « decatreis ( « treikaideka »
inversé) qui signifie 13 et « phobos » qui signifie peur.

Phobie du vendredi 13.

Épitrachelion

Nom masculin.

Du grec « epitrachelios » qui signifie écharpe autour du cou.

Religion orthodoxe
Vêtement porté, dans les Églises d’Orient, par les prêtres et évêques
comme symbole de leur magistère.
L’épitrachelion est fait de brocart où sont appliquées ou brodées sept
croix. Une sur l’arrière du cou et trois sur chacun des deux pans.

Triskaïdekaphobie

Nom féminin.

Du grec « treiskaidéka » qui signifie treize et « phobos » qui signifie
peur.

Superstition ou coutume d’éviter le nombre 13 en le considérant comme un
nombre de malheur.
Une des hypothèses émise pour expliquer cette superstition est en lien avec la
Cène, qui réunit les douze apôtres mais Judas le traître porte le nombre à
13.
Ce repas sera le dernier de Jésus.

Phélonion

Nom masculin.

Du grec « phailonios » qui signifie chasuble.

Vêtement liturgique des Églises d’Orient.
À l’époque byzantine, il était de forme ronde, sans manches, avec juste une
ouverture pour passer la tête. Il couvrait tout le corps et pouvait se relever
avec des cordons, pendant le service. Cette forme s’est globalement conservée
dans les Églises Grecques.
Ce vêtement symbolise le pourpre que Jésus a dû revêtir, lors de son procès
devant Ponce Pilate.
C’est l’équivalent de la chasuble pour l’Église latine.
Le phélonion est toujours en soie brodée, tissé de façon rigide, ce qui lui
donne l’allure d’un trapèze, dont la pointe est relevée derrière la
nuque.
Ce vêtement est porté par les prêtres.