Nom masculin.
Du grec « apion » qui signifie poire, en raison de la forme piriforme de
ces insectes.
Entomologie.
Genre de coléoptères dont la larve est nuisible pour les légumineuses
et pour d’autres plantes.
Nom masculin.
Du grec « apion » qui signifie poire, en raison de la forme piriforme de
ces insectes.
Entomologie.
Genre de coléoptères dont la larve est nuisible pour les légumineuses
et pour d’autres plantes.
Nom masculin.
Du latin « carere » qui signifie manquer en raison de l’épi supérieur
ordinairement mâle et qui manque de graines.
Ou du grec « cairo » qui signifie je coupe. Ou du grec « carax » qui signifie
fossé.
Ce genre de plantes étant à feuilles coupantes et croissant dans les fossés.
Botanique.
Genre de plantes de la famille des cypéracées, appelées communément
« laîche », à tige souvent de section triangulaire, à feuilles
coupantes, aux fleurs en épis et dont beaucoup croissent dans les lieux
humides
des régions tempérées.
Certains papillons de nuit se nourrissent de carex.
Le Cisseps à col orangé
La Cténuche de Virginie
Le bombyx buveur
La plusie de la fétuque.
Verbe transitif ou intransitif.
Néologisme forgé au XXIème siècle.
Dérivé de « plus » avec le suffixe »-oyer ».
Terme qui vient de l’habitude sur les réseaux sociaux d’écrire « + 1 »
pour dire j’ajoute ma voix, je suis d’accord, ou je souscris à vos
propos.
Langue française.
Donner ou signaler son accord. Abonder dans le sens de quelqu’un.
Souscrire à ses propos.
Nom féminin.
Du grec « capra » qui signifie chèvre.
Cuir de chèvre très fin, qui pouvait s’utiliser autrefois, dans la
fabrication des éventails.
Nom féminin.
Du grec « katoptron » qui signifie miroir et « manteia » qui signifie divination.
Divination qui se pratique en regardant dans un miroir ou dans un
corps brillant ou poli.
Nom masculin.
Étymologie inconnue.
Au Maroc, instrument à vent traditionnel en forme de long tube évasé.
Nom féminin.
Du grec « trophê » qui signifie nourriture et « allaxis » qui signifie échange.
Mode de transfert de nourriture utilisé par certains hyménoptères,
comme les fourmis, les abeilles ou les guêpes.
Ce transfert peut se faire par la bouche: trophallaxie stomodéale.
Ou par l’anus: trophallaxie proctodéale.