Nom masculin.
Du mot grec « komboloï » composé de
« kobos » qui signifie noeud et « -ogio » qui signifie collection.
Le mot pourrait aussi être une évocation du proverbe grec: « pour chaque
noeud je dis une prière », décrivant le mode d’usage des chapelets, de «
kobos » qui signifie noeud et « leo » qui signifie je dis.
Sorte de chapelet non religieux, destiné à occuper les mains.
Il est composé d’un cordon muni de perles aux extrémités duquel se trouve
un noeud.
Les perles peuvent glisser le long du fil.
Les komboloï sont vendus à un faible prix en Grèce dans des kiosques qui
vendent aussi des journaux, des cigarettes et des confiseries.
On les change lorsqu’ils sont cassés.
C’est un objet du quotidien principalement utilisé par les hommes.
L’usage peut être silencieux ou sonore, lorsque l’on fait s’entrechoquer
les perles.
Les perles peuvent être en os, verre ou bois mais aussi dans des matériaux
précieux comme l’argent ou l’ambre.