Nom féminin.
De l’italien « fantina » qui signifie écuyère. A rapprocher de
« chevalet » qui vient de « cheval ».
Soierie.
Partie du chevalet à dévider la soie de dessus les cocons.
Nom féminin.
De l’italien « fantina » qui signifie écuyère. A rapprocher de
« chevalet » qui vient de « cheval ».
Soierie.
Partie du chevalet à dévider la soie de dessus les cocons.
Nom féminin.
Du latin « viscia » qui signifie vesce.
Botanique.
Plante de la famille des Papilionacées, à feuilles composées de
plusieurs folioles, à vrilles fleuries et dont certaines variétés sont
cultivées pour le fourrage.
Synonyme. Dravière. Lentille bâtarde. Lentille du Canada.
Par métonymie.
Graine de cette plante.
Nom masculin.
Emprunté par l’intermédiaire du portugais, du japonais « bonzu » forme
dialectale de « bozu » qui signifie prêtre.
1- Prêtre ou moine bouddhiste.
2- Au figuré. Dans une langue familière et péjorative.
Personnage pontifiant.
Nom masculin.
Emprunté à l’espagnol « tepuy » lui-même est emprunté au pemon ou arekuna.
Géographie.
Haut plateau, relief tabulaire aux contours particulièrement abrupts,
fréquent dans le plateau des Guyanes en Amérique du Sud.
Nom féminin.
Du russe « papakha » de même signification.
1- Habillement.
Sorte de coiffure masculine en fourrure, portée par les habitants des
peuples causasiens et transcaucasiens.
Adjectif.
Emprunté au latin « sibyllinus » dérivé de « Sibylla ». Le recueil des
livres sibyllins était déposé à Rome, depuis Tarquin l’Ancien, au
Capitole, sous la garde d’un collège de prêtres.
1- Antiquité.
De sibylle.
Par exemple: »vers sibyllins »
Livres sibyllins.
Livres d’oracles vendus à Tarquin par la sibylle de Cumes, que le
Sénat consultait au Capitole dans les cas importants.
Oracles sibyllins.
Compilation hellénistique de traditions d’origine juive, à tendance
apologétique, avec interpolations chrétiennes.
2- Au figuré.
Dont le sens est obscur, mystérieux, symbolique comme celui des oracles.
Par exemple: »texte sibyllin. »
Rare. En parlant d’une personne.
Difficile à comprendre.
Nom féminin.
Emprunté au latin « apocalypsis »du grec « apocalypsis » qui signifie
révélation de dieu.
1- Histoire. a- Écrit du judaïsme ou du christianisme, ancien et contenant
généralement sous forme de visions, des révélations notamment sur la
fin des temps. b- Spécialement. Apocalypse de St Jean.
Dernier livre canonique du Nouveau Testament, contenant les
révélations faites à son auteur (selon la tradition de St Jean
l’évangéliste réfugié dans l’île de Patmos). c- Locutions.
En littérature.
Les bêtes de l’Apocalypse. (par référence aux animaux et aux chevaux
fantastiques et terrifiants).
Symbole des occupations épouvantables.
Dans une langue vieillie.
Cheval de l’Apocalypse. Cheval efflanqué.
Style d’Apocalypse. Style obscur.
2 Dans la construction substantif plus d’Apocalypse:
Catastrophe comparable à la fin du monde telle qu’elle est décrite
dans l’Apocalypse.
Par exemple: »une vision d’Apocalypse. »