Nom masculin.
De « Ypres » ville de Belgique avec le suffixe « -eau ».
Botanique
Nom vernaculaire du peuplier blanc, du peuplier gris de l’Oise ou du peuplier
grisard de nom scientifique « Populus canescens ».
Nom masculin.
De « Ypres » ville de Belgique avec le suffixe « -eau ».
Botanique
Nom vernaculaire du peuplier blanc, du peuplier gris de l’Oise ou du peuplier
grisard de nom scientifique « Populus canescens ».
Nom féminin.
À rapprocher de l’ancien français
« esmochëer » qui désigne la queue avec laquelle on chasse les mouches,
dérivé du verbe « esmochier » qui signifie chasser les mouches, lui-même
dérivé de « mouche ».
Carapaçon fait d’un filet garni de cordelettes pendantes dont on couvre les
chevaux pour les protéger des mouches.
Verbe intransitif.
Probablement emprunté au lyonnais
« se décanilli » qui signifie se hâter de fuir, lui-même dérivé avec le
préfixe « dé-» de
« canilles » qui désigne les jambes dans un emploi comique.
« Canilles » est le diminutif de « cannes » qui signifie jambes dans
l’argot franco-provençal.
Dans une langue populaire
S’en aller malgré soi et sans demander son reste.
Par exemple: « si ça plaît à monsieur de Maillebois de déguerpir, ce
n’est pas une raison pour que je décanille, moi ».
La Varende, « Va-de-bon-Cœur », 1942.
Nom masculin.
Du latin « pompholyx » qui désigne l’arsenic blanc.
Chimie
Oxyde de zinc, en flocons. obtenu par sublimation.
Il est aussi désigné sous le nom de laine philosophale.
Nom féminin.
Emprunté à l’arabe « tūtiyā » qui signifie tutie, zinc, oxyde de zinc,
d’un emprunt probable à une langue de l’Inde.
À rapprocher du sanskrit « tuttha » qui désigne le vitriol bleu ou sulfate
de cuivre utilisé comme collyre.
Chimie
Variante de « tuthie ».
Oxyde de zinc résultant de la calcination de certains minerais et entrant dans
la préparation de certains collyres.
Nom féminin.
Du russe « merzlota » qui signifie terrain congelé.
Pédologie
Couche de sol qui ne dégèle jamais.
Synonymes
Permafrost
Pergélisol
Nom masculin.
Étymologie inconnue.
Plante du genre Cordyline très présente en Polynésie.
La légende des dieux polynésiens raconte que cette plante est issue du tibia
de l’homme. Le bois d’auti servait autrefois pour joindre les tibias
brisés.