Nom masculin.
Peut-être du néerlandais « bedelar » qui signifie gueux, mendiant.
Dans un sens vieilli. Mendiant.
Par exemple: « .[..] pendard, gueux, belître… » Molière, Le Médecin
Malgré Lui.
Par extension. Homme de rien, sot, importun.
Nom masculin.
Peut-être du néerlandais « bedelar » qui signifie gueux, mendiant.
Dans un sens vieilli. Mendiant.
Par exemple: « .[..] pendard, gueux, belître… » Molière, Le Médecin
Malgré Lui.
Par extension. Homme de rien, sot, importun.
Nom féminin.
Du matin « inedia » qui signifie jeûne, de « in » préfixe privatif et
« edo, edere » qui signifie manger. .
Jeûne total, sans nourriture et sans eau, durant plusieurs jours,
considéré comme un danger mortel.
Courant issu du New-Age et s’inspirant de notions traditionnelles indiennes.
Adjectif et nom masculin.
De « puknos » qui signifie dur, serré, épais.
En médecine. Type morphologique dans la classification de Kretschmer.
Ce type morphologique est caractérisé par un corps trapu, un visage
large, une tendance à l’embonpoint et un tempérament
à tendance cyclothymique qui alterne les phases d’euphorie et les
phases de dépression.
Nom féminin.
Du latin « ossseus » qui signifie dur comme l’os.
Chimie organique. Protéine de consistance dure constituant la
substance fondamentale de l’os adulte, représentant environ un tiers
du poids de l’os.
Nom masculin.
Emprunté à l’ancien provençal « capmalh »au sens de pièce de mailles
militaire.
Dérivé d’un verbe « capmalhar » qui signifie revêtir la tête d’une cuirasse.
On se réfère à l’ancien français « maillié » qui signifie formé en
mailles en parlant d’un haubert et à l’ancien provençal « malhar » qui
signifie fabriquer des armures de mailles plus tardif.
Cette hypothèse est préférable du point de vue morphologique à celle
d’une formation de « capmalh » à partir d’u gallo-roman « capimaclium ».
A- Art militaire. Pièce de mailles portée sur ou sous le casque et
protégeant le cou et les épaules.
Par extension. Héraldique. Lambrequin couvrant le casque et l’écu.
B- Petit manteau recouvrant les épaules jusqu’à la ceinture, que
portent les dignitaires ecclésiastiques (évêques…) dans les
cérémonies.
Pèlerine à capuchon que le clergé porte en hiver.
Par exemple: »le camail de soie violette des prélats. »
C- Vêtement d’homme ou de femme, court, sans manches, muni ou non d’un
capuchon.
Par extension.
1- Capuchon garni d’un masque de toile métallique destiné à préserver
les apiculteurs des piqûres d’abeilles.
2- Régional. a- Chapeau excentrique extravagant. b- Capeline d’enfant qui se
porte l’été.
3- Camail de cheval. Partie de la housse des chevaux de luxe qui
couvre la tête et l’encolure.
Nom masculin.
Du nom d’un blanc européen lusophone immigré en République
Démocratique du Congo à l’époque coloniale.
Ce mécanicien assurait aussi la vulcanisation des pneus.
Au Congo-Kinshasa. Service de réparation de pneus.
Nom masculin.
Du vieux francique « tarewamelo » qui signifie farine de froment. Lié au
néerlandais « tawermeel » composé de « tarwe » qui signifie froment et
« meel » qui signifie farine.
Métier ancien cité dans le Livre des Métiers d’Etienne Boileau en 1268.
Dauzat y voyait l’influence des verbes de l’ancien français « taler »
qui signifie battre et « mesler » mélanger.
A l’origine, il s’agit d’un « tamisier » qui tamisait la farine
grossière venue des moulins.
Plus tard, pour diversifier son activité, il a obtenu le droit de
cuire le pain dans le four banal, devenant également « fournier ».
Dès qu’il a pu obtenir le droit d’avoir son propre four il est devenu
« panetier » ou « pâtissier ».
Le « talemelier » est ainsi l’ancêtre du boulanger.