Nom féminin.
Emprunté au latin « incardinatio » de même sens.
Droit canon
Rattachement d’un clerc à un diocèse ou à un institut religieux.
Nom féminin.
Emprunté au latin « incardinatio » de même sens.
Droit canon
Rattachement d’un clerc à un diocèse ou à un institut religieux.
Nom masculin.
Origine incertaine.
Le mot serait issu d’un radical onomatopéique « pomp-» exprimant la
rondeur, variation de « pimp » (à rapprocher de pimpant).
Selon certain linguiste le mot serait une variation nasalisée de « poupon »
qui signifie tétine, puis poupée de chiffon d’où assemblage de chiffons,
pompon, mais cette hypothèse est mal fondée historiquement et sémantiquement.
A
1- Assemblage de fils de laine ou de soie en forme de boule, de touffe plus ou
moins sphérique, servant d’ornement dans le costume ou l’ameublement.
Au figuré
Ornement de peu de valeur.
2- Par analogie
Ce qui a la forme d’un pompon.
Rose pompon
Variété de rose à petites fleurs sphériques.
B- Locution figurée
1- Familier avec une valeur ironique
« Quelqu’un atteint le pompon » signifie quelqu’un l’emporte sur les
autres.
« C’est le pompon » signifie c’est le comble.
2- Populaire
Vieilli
« Avoir son pompon » signifie être un peu ivre.
Nom masculin et féminin identique.
Du grec « stego » qui signifie relatif au toit et du grec « philo » qui
signifie aimer.
Personne qui pratique l’escalade des toitures.
Nom masculin.
Origine incertaine. Peut-être dérivé de
« boule» en raison de la forme ronde des trous du colombier et des pots de
tête où se nichent les pigeons. À rapprocher du latin
« bolinus » qui désigne de même un objet rond, boulon, petite masse ronde
décorative et spécialement de expression
« ad bolinum » qui signifie relevé en bosse, ciselé.
Vieilli
Trou pratiqué dans un mur de colombier et servant de nid aux pigeons.
Par extension
Vase de terre servant au même usage.
Maçonnerie
Trou pratiqué dans un mur pour y engager les traverses servant à soutenir les
poutres horizontales d’un échafaudage.
Par métonymie
Poutre horizontale d’un échafaudage.
Nom féminin.
Dérivé de « parement » avec le suffixe
« -ique ». Le /a/ est une hypercorrection latinisante. Vers 2010.
Religion
Ensemble des coiffes, tentures, parements et ornements utilisés dans les
liturgies religieuses.
On y inclut parfois l’orfèvrerie sacrée.
Nom féminin.
Emprunté au latin « dalmatica » (sous- entendu vestis) pour (tunique) de
Dalmatie.devenue le vêtement des diacres et des évêques. À supplanté les
formes semi-savantes dalmaie, dalmaire.
Tunique blanche à manches longues, puis courtes, brodée de pourpre, empruntée
aux Dalmates, en usage chez les Romains, pui au Moyen-Âge.
Spécialement
Vêtement liturgique porté sous la chasuble.
Par extension
Ample robe de tissu précieux, à usage laïque.
Nom masculin.
Emprunté par l’intermédiaire du portugais
« mangostae » qui signifie fruit du mangoustan, au malais « manggoestan » de
même signification.
Botanique
Arbuste de la famille des Guttifères, cultivé en Malaisie et dans le sud de
l’Inde.
Son feuillage est sempervirent, composé de feuilles simples opposées,
épaisses, coriaces elliptiques-onlongues.
Ses fleurs d’un diamètre de 4 à 6 centimètres sont roses, blanc crème au
centre avec quatre et sépales en inflorescences fourchues. Les fleurs
s’ouvrent l’après-midi, puis les pétales tombent rapidement.
Son fruit sphérique, violet foncé contient une chair blanche, parfumée,
acidulée, juteuse et un peu fibreuse.
Par métonymie
Fruit de cet arbre
Synonyme: mangouste