Nom féminin.
En philosophie. Caractère inné, des structures mentales ou des
caractères mentaux.
Par exemple: « l’innéité de notre désespoir. » Cioran
Nom féminin.
En philosophie. Caractère inné, des structures mentales ou des
caractères mentaux.
Par exemple: « l’innéité de notre désespoir. » Cioran
Nom masculin.
Mot grec de e- et « -psilon » qui signifie simple.
Nom de l’E bref des grecs; cinquième lettre et deuxième voyelle de
leur alphabet.
L’epsilon est le symbole employé en mathématiques pour désigner une
quantité algébrique infinitésimale que l’on fait tendre vers zéro.
Nom masculin.
Pluriel de « lil ». Du latin « lilium ». L’orthographe « lys » qui date du
XIV ème siècle fut inusitée au XVII ème et au XVIII ème siècle puis
reprise au XIXème siècle.
1- Plante herbacée et vivace de la famille des liliacées, à feuilles
lancéolées et à grandes fleurs.
2- La fleur blanche du lys commun.
En littérature. Symbole de pureté, de candeur et de vertu.
3- En héraldique. Figure formée de trois fleurs de lys, schématisées
et unies. Objet imitant cette figure.
Le blason qui porte cette figure est dit « fleurdelisé ».
La fleur de lys est le symbole de la royauté.
La fleur de lys était une marque au fer rouge sur l’épaule de certains
condamnés.
Par extension. Le lys des vallées est le muguet. Le lys St Jacques est
l’amaryllis. Le lys d’étang ou lys d’eau est le nénuphar. Le lys jaune
est l’hémérocalle.
On écrit le lis ou le lys.
Nom féminin.
De l’anglais « quantophrenia ». Mot inventé par Pitirim Sorokin. Utilisé
la première fois dans son ouvrage « Tendances et déboires de la société
américaine » en 1956.
Du latin « quantus » qui signifie combien de, de quelle grandeur et du
grec « phrenia » qui signifie esprit.
Dans un sens péjoratif.
Excès d’usage mathématique en sociologie.
Pathologie qui consiste à vouloir traduire systématiquement les
phénomènes sociaux et humains en langage mathématique.
Maladie de la mesure.
Nom masculin.
De « styrax » arbre de la famille des styracacées qui pousse en
Extrême-Orient et contient une résine odorante. Baume que l’on tire de
cet arbre. La transformation du « y » en « o » est un phénomène dont l’origine
serait Marseille étant données les formes similaires venues de Provence.
Dans une langue vieillie. Substance résineuse aromatique provenant de
certaines espèces de styrax.
La résine d’une belle couleur jaune, est obtenue par incision du
tronc. En pharmacie, le baume styrax est efficace contre les maladies
respiratoires sous forme de fumigations.
Il peut être brûlé en tant qu’encens.
En parfumerie, il joue le rôle de fixateur. Il a été utilisé dans les
années 20, dans le parfum « Shalimar », puis a été abandonné avant de
revenir à la mode dans les parfums « Opium » et « Nu ».
L’arbre est appelé « aliboufier » quand il s’agit du « Styrax
officinalis ». Le baume se nomme « storax » ou benjoin selon les espèces.
Le mot « storax » est aujourd’hui peu usité.
Le mot « styrax » sert aussi de façon abusive à désigner la résine du
« liquidambar ». Cette acception est rencontrée dans « L’Histoire
Naturelle » de Pline l’Ancien.
Nom féminin.
Mot d’origine slave. Du polonais « suknia » qui signifie robe, vêtement, habit.
Vêtement porté au Moyen Âge, vers 1390, en France.
Sorte de surcot, (vêtement porté au-dessus d’un autre), lacé en
arrière, emprisonnant la taille et moulé sur la poitrine.
Par exemple, tiré d’un texte en vieux français: »…Car nule robe n’est
si bele, Que sorquanie à damoisele. »La Rose, 1224.
Nom masculin.
De « vanille » issu de l’espagnol « vainilla » qui signifie vanille.
Orchidacée grimpante des régions tropicales, qui produit la vanille.
Le vanillier est une liane d’ Amérique et d’Afrique.
Son fruit est une gousse qui est utilisée comme parfum en confiserie, en pâtisserie mais aussi en parfumerie.