Nom masculin (indénombrable).

Mot introduit en allemand en 1943 et créé à partir des lettres du nom
de ses inventeurs: Schrader, Ambros, Gerhard, Ritter et Van der LiNde.

C’est l’appellation vulgaire d’un insecticide découvert en 1939, dans
les laboratoires de l’IG Farben et déclaré comme arme de destruction
massive par l’ONU dans la résolution 687.

Chimie.

Substance incolore, inodore et volatile de la famille des
organophosphorés, extrêmement neurotoxique pour l’homme et l’animal et
dont l’effet est généralement létal.

Le sarin est environ 500 fois plus toxique que le cyanure.

Nom féminin.

Décrite par Adolarius Forster en 1780, ce minéral doit son nom à la
région de sa localité-type, le Labrador au Canada.

Minéralogie

Minéral de la famille des feldspaths plagioclases.

La particularité de certaines pièces est de posséder un jeu de
couleurs à l’éclat métallique.

Utilisation en cabochon pour la joaillerie et comme minéral de
purification dans l’élaboration de vodkas de grand luxe notamment
polonaises.

Nom masculin.

Du magyar « lang » qui signifie flamme, montrant l’origine de la recette.

Type de pain en forme de galette cuit dans l’huile, issu de la cuisine
hongroise et répandu en Europe centrale.

Il est confectionné à partir de farine de blé ou de pommes de terre.

Il se déguste dans la rue durant les fêtes et les festivals, accommodé
de fromage et de crème aigre.

Nom féminin.

Mot forgé par le minéralogiste français François Sulpice Beudan en
1832. Il évoque la localité de Spessart en Bavière (Allemagne), la
région type où l’on rencontre ce minéral.

Minéralogie

Espèce minérale du groupe des silicates de la famille des grenats.

Nom masculin.

Composé de monte, au, ciel.

Botanique.

Nom vulgaire de la renouée d’Orient, de nom scientifique « Polygonum
orientale ». C’est une espèce de plante herbacée de la famille des
Polygonaceae.

Cette plante est aussi nommée Bâton de St Jean.

Nom féminin.

Du corse ou de l’italien « pozzi », qui signifie puits.

Mot créé par le botaniste suisse John Briquet, contraction de « pozz[i
formation alp]ine.

Botanique.

En Corse.

Formation végétale humide, très fréquente en Corse qui prend la forme
d’une pelouse, qui entoure de petites étendues d’eau. Ces formations
se rencontrent entre 1600 et 2200 mètres d’altitude, rarement plus bas.

On peut considérer que ce sont des tourbières acides très planes qui
relient des chenaux naturels formés par l’écoulement de neiges
fondues.

Bien que considérées comme typiques des montagnes corses, les pozzines
existent dans d’autres massifs d’Europe (Pyrénées, Alpes du Sud),
d’Afrique du Nord et d’Asie Centrale.

Verbe pronominal.

Emprunté au latin «  »admutire » qui signifie rendre muet, formé sur le
radical « mutus » qui signifie muet

Phonétique

En parlant d’un phonème, lettre ou syllabe: cesser d’être prononcé.

Par exemple la lettre muette « h ».

Le substantif issu de ce verbe est « amuïssement ».