Nom féminin.
Apocope de cigarette, avec suffixe argotique.
Argot.
Cigarette
Nom féminin.
Apocope de cigarette, avec suffixe argotique.
Argot.
Cigarette
Nom masculin.
Emprunté au latin « acoluthus » de même sens, par le grec « acolouthos »
qui signifie « sequens, minister » à l’époque où la communauté romaine
utilise encore le grec.
– Hiérarchie et liturgie catholique
Clerc promu à l’acolytat chargé notamment de servir à l’autel un
membre de la hiérarchie placé au-dessus de lui, comme un sous-diacre,
un diacre, un prêtre…)
II- Par extension. dans une langue familière et parfois péjorative.
Compagnon et serviteur habituel d’une personne à laquelle il est
subordonné. Aide subalterne.
Remarque. Dans la littérature, on rencontre les syntagmes suivants:
Acolyte du juge.
Acolyte du notaire.
Acolyte de la muse.
Acolyte du génie.
Par extension dans un sens péjoratif et le plus souvent au pluriel.
Complice.
Rare a- Nom féminin
Par exemple: »mesdames les acolytes. » b- Emploi adjectivé.
Par exemple: »des âmes acolytes. »
Remarque.
Le sens religieux qui représente la moitié des emplois au singulier,
ne recouvre plus que le cinquième des emplois au pluriel.
L’expression deux acolytes, est deux fois moins employée qu’au XIXème
siècle, où le terme se désacralise alors que l’emploi religieux reste
technique.
Nom masculin.
Emprunté au latin « psalterium » de même signification, du grec
« psalterion » dérivé de « phallo » qui signifie pincer, tirer.
En ancien et moyen français, on rencontre la forme « sarterion ».
Musique.
Cithare aux cordes en nombre variable, pincées, grattées ou frappées
selon les époques. Elle est munie d’une caisse de résonance plate de
forme triangulaire ou trapézoïdale, laquelle était en usage dans l’Antiquité
et dans l’Europe médiévale;
Nom féminin.
Probablement comosé du radical de « gourer », « goret » ( moyen français
« gorre » qui signifie syphilis, « gorasse » qui signifie coquette), en
dialecte « gore » et « goure » signifient femme de mauvaise vie, et dérivé
dialectal de l’ancien français et de l’ancien provençal,
« gandir » qui signifie s’esquiver, puis plus tard « gandine » qui
signifie guenipe.
Dans une langue familière.
Femme légère, facile, dévergondée.
Synonyme de catin, coureuse, fille, gaupe, sauteuse, putain.
Nom masculin.
Le personnage de R.Gandin, de la pièce de Thomas Barrière, les
Parisiens de la Décadence, a contribué à mettre le mot à la mode.
Le dauphinois « gandin » est formé du radical « gand- » ( ancien français,
« gandir » qui signifie échapper, se sauver. Issu du gothique « wandjan »
qui signifie tourner, avec le suffixe -in.
Sous le Second Empire.
Jeune homme très élégant, raffiné et assez ridicule.
Par exemple: »mener une vie de gandin. »
Faire le gandin est une expression qui signifie afficher une mise et
des manières très recherchées.
Nom masculin.
De Brillat-Savarin, homme politique, avocat et gastronome français
(1755-1826).
Gâteau en pâte à baba, arrosé de sirop de sucre, parfumé au rhum et
garni de crème pâtissière ou de chantilly.
Nom masculin
Sens numéro 1
Du nom de la ville de Pékin en Chine.
Étoffe de soie peinte.
Étoffe présentant des raies alternativement mates et brillantes, soit
de couleurs soit de matières différentes.
Sens numéro 2
Probablement emprunté au provençal « pequin » qui signifie chétif,
malingre, correspondant à l’espagnol « pequeno » qui signifie petit,
issu d’un radical indo-européen « pekk- » qui signifie petitesse.
Le mot a sans doute été introduit dans l’argot des armées
révolutionnaires par des soldats originaires du MIdi.
1- En argot militaire. Dans une langue péjorative.
Civil. Bourgeois.
En pékin, signifie en habit civil.
En pékin, signifie en particulier, sans déguisement dans un bal costumé.
2- Par extension. En argot.
Celui qui n’appartient pas à un milieu particulier.
Par exemple: »accommoder le pékin ( pour les voleurs ). »