Nom mascuin.
Etymologie inconnue.
Nom du fouet en cuir muni de sa poignée en bois utilisé par les
gauchos d’Argentine.
Dans l’Antiquité il servait aussi d’arme dans les combats de mêlée.
Nom mascuin.
Etymologie inconnue.
Nom du fouet en cuir muni de sa poignée en bois utilisé par les
gauchos d’Argentine.
Dans l’Antiquité il servait aussi d’arme dans les combats de mêlée.
Nom féminin.
De di- et de élytre, issu du grec « elutron » qui signifie étui. la
forme « diclytre » qui peut être rencontrée serait une transcription
défectueuse.
Plante dicotylédone, de la famille des papaveracées (anciennement
fumariacées), cultivée dans les jardins sous le nom de coeur-de-Marie,
coeur-de-Jeannette ou coeur saignant en raison de la forme de ses fleurs
qui par ailleurs poussent en grappes roses ou blanches, très décoratives.
Nom féminin.
Altération de « émmanche » de même sens, dérivé de « émmanché » terme
d’héraldique qui signifie qui est divisé en deux parties égales par
des émanches d’émaux mouvant toujours des bords.
En héraldique. Pièce de l’écu d’un émail différent, en forme de
pointes ou de triangles pyramidaux, mouvant de l’un des bords ou
de l’un des angles vers le coeur de l’écu (plus rarement en fasce, en
bande et en barre) et qui sont réunis à la base pour ne former qu’un tout.
Nom féminin.
Du provençal « langosta » par le latin « locusta » qui signifie sauterelle.
Crustacé de l’ordre ss décapodes, à fortes antennes mais sans pinces,
atteignant quarante centimètres de long et très apprécié pour sa
chair;
Nom masculin.
De la ville de la « Gravette » en Dordogne.
Faciès culturel du paléolihique supérieur, caractérisé par un burin
sur troncature retouchée et une pointe élancée à bord rectiligne
abattu par des retouches abruptes.
Situé entre l’aurignacien et le solutréen soit entre 27000 et 200000
avant notre ère, le gravettien a produit de remarquables statuettes
féminines en ivoire.
On peut citer par exemple la Vénus de Lespugue et la Vénus
de Willendorf.
Verbe transitif.
Du latin « macerare » qui signife rendre doux.
Mettre dans un liquide pour conserver ou parfumer.
Par exemple: »j’ai mis à macérer les fruits dans l’alcool »
En tant que verbe intransitif.
Baigner longuement dans un liquide.
Par exemple: »les cerises macèrent dans l’eau de vie. »
Au figuré.
Dans un langage familier.
Être confiné dans une siuation inconfortable.
Par exemple: »Il m’a laissé macérer, plus d’une heure, dans la salle d’attente. »
Dans la religion.
Affliger son corps de diverses mortifications par esprit de pénitence.
Par exemple: « elle macéra son corps par des jeûnes répétés. »
Nom féminin.
Emprunté au latin « paeonia » de même signification qui a donné l’ancien
fançais « pyoine », issu du grec « payoni » féminin substantivé de
l’adjectif « paionios » qui signifie relatif à
Paeôn, propre à guérir. De « Paeôn » littéralement le guérisseur, le secourable.
Paeôn était un dieu grec, disciple d’Asklépios dieu de la médecine. Il
exerçait la fonction de médecin des dieux et avait été chargé par la
déesse Léto, la mère du dieu Apollon, de lui apporter la racine d’une
plante magique qui poussait au pied du Mont Olympe.
Cette racine était suppoée soulager la souffrance des femmes lors de
l’accouchement, et comme Léto était la déesse de la fertilité, elle
voulait utiliser cette fleur à des fins thérapeutiques.
Lorsque le dieu « Asklépios » apprit que Paeôn avait réussi à trouver la
racine magique, il devint jaloux de son disciple et voulut le tuer.
Léto supplia alors Zeus, le père de tous les dieux, de sauver Paeôn de la
colère de son maître. Zeus sauva Paenôn en le transformant en fleur de pivoine.
La pivoine est aussi une fleur très prisée en Chine, pays où elle est
considérée comme « la plus belle » et qui symbolise la beauté et la
prospérité. C’est de Chine que nous vient une légende sur l’origine de la pivoine
noire qui devint noire après avoir été brûlée par dépit d’une princesse fâchée de ne
pas la voir fleurir hors saison.
Botanique. Plante bulbeuse vivace, de la famille des Renonculacées,
qui fleurit en mai et juin et se présente en grandes fleurs rouges,
roses, blanches ou panachées, odorantes ou non.
La pivoine officinale est utilisée pour sa racine séchée à la saveur
un peu amère et sucrée, astringente.
Locution familière. Être ou devenir rouge pivoine signifie rougir très
fortement sous le coup d’une émotion.