Nom masculin.
De tourner et virer.
Marine
Chaîne ou cordage sans fin servant autrefois à virer une chaîne ou un câble
faute de cabestan ou pour ajouter à son effort.
Nom masculin.
De tourner et virer.
Marine
Chaîne ou cordage sans fin servant autrefois à virer une chaîne ou un câble
faute de cabestan ou pour ajouter à son effort.
Participe passé du verbe « emboire », verbe transitif.
Du latin « imbibere » ( composé de « in » intensif et « bibere » qui
signifie boire) qui signifie se pénétrer de, s’imprégner de.
A- Participe passé de emboire
B- En emploi adjectivé
Imbibé, imprégné d’eau, de liquide.
Par exemple:
« …les yeux embus de larmes ». Colette, Claudine en ménage, 1902.
Spécialement
Peinture
En parlant d’un tableau, d’une toile
Qui est devenu mat, terne; le support ayant absorbé l’huile ou l’essence.
C- En emploi substantivé
Peinture
Aspect terne et mat d’un tableau ou de certaines de ses parties.
Nom masculin.
Du latin « oscullum » qui signifie baiser.
Religion catholique
Objet d’art sacré, présenté, dans certaines cérémonies, au prêtre qui
officie et aux fidèles, pour le rite du baiser de paix, intervenant juste avant
la communion.
Cet objet représente une scène biblique en bas-relief, le Christ ou la Vierge
Marie sculpté dans l’ivoire ou coulé dans l’argent ou le bronze.
Synonyme: baiser-de-paix.
Nom masculin.
Du latin « fenile » qui signifie fenil.
Bâtiment rural ou partie d’un bâtiment où l’on conserve le foin.
Par exemple: « le fenil est plein à ras-bord ».
Nom masculin.
Au pluriel des ana.
Mot tiré du latin -ana, ajouté à un nom d’auteur pour désigner un recueil
d’anecdotes le concernant.
1- -ana
Terminaison latine que l’on ajoute à certains noms propres, pour indiquer un
recueil de pensées détachées, de bons mots, d’anecdotes attribuées à ces
personnages.
Par exemple: « le Furetériana (en lien avec Furetière), le Voltairiana ( en
lien avec Voltaire.
2- Ana
Recueil d’anecdotes, de traits attribués à un auteur célèbre.
Par exemple: « des faiseurs d’ana ».
Nom masculin.
Emprunté à l’islandais « Geysir » nom propre d’une source chaude
d’Islande, employé par les géologues pour désigner toute source chaude du
même type et qui signifie « celui qui jaillit » de « geysa » qui signifie
jaillir.
1- Source chaude d’origine volcanique, qui jaillit par intermittence.
Par exemple: « les geysers des montagnes rocheuses ».
2- Par analogie d’aspect
Projection d’un liquide ou d’une matière, jaillissant en gerbe.
Nom masculin.
Altération de l’espagnol « saber » qui signifie savoir, qui servit
d’abord à désigner le mélange de français, d’arabe, d’italien et
d’espagnol parlé par les Algériens après 1830.
Le terme « sabir » est utilisé par Molière dans le ballet turc du «
Bourgeois Gentilhomme »:
« Si ti sabir, ti respondir… »
1- Parler composite mêlé d’italien, d’espagnol, d’arabe et de français
en usage en Afrique du Nord et dans le Levant.
2- Linguistique
Par opposition au pidgin et au créole dont le système est plus homogène et
plus complet.
Langue mixte, utilisée à des fins commerciales, née du contact linguistique
de communautés différentes.
3- Par extension
a- Péjoratif
Langue, formée d’éléments hétéroclites et qui est difficilement
compréhensible.