Nom masculin.
Du latin « balalinus » qui signifie du gland.
Entomologie
Charançon ravageur au long rostre et dont la femelle pond dans des glands, des
noisettes, des châtaignes…
Nom masculin.
Du latin « balalinus » qui signifie du gland.
Entomologie
Charançon ravageur au long rostre et dont la femelle pond dans des glands, des
noisettes, des châtaignes…
Nom masculin.
D’un mot malais qui signifie écureuil.
Zoologie
Petit mammifère insectivore de l’Asie tropicale.
La classification de cet animal dans la systématique fait l’objet de
controverses: certains zoologues le classent parmi les primates les
moins évolués, d’autres tiennent à les maintenir parmi les insectivores.
Nom féminin.
Mot d’origine gauloise (à rapprocher de l’irlandais « gabâl » qui
signifie saisir) qui désignait ce qu’on rassemble par tas, par
poignées.
1- Brassée de céréales ou d’oléagineux moissonnée à la faux ou à la
moissonneuse, demeurant en petit tas sur le chaume, avant la mise en
gerbe.
Par exemple: »des javelles d’avoine verte et des coquelicots. »
2- Fagot d’échalas, de sarments de vigne.
3- Tas de sel de huit à dix tonnes provenant du râclage des tables salantes.
-Petit tas de sel.
4- Locution vieillie
En parlant d’un objet fait de pièces de bois assemblées.
Tomber en javelle pour un tonneau signifie que les douves et les fonds
du tonneau se séparent.
Nom féminin.
Dérivé de « grenade », par le français
« grain » issu du latin « granum » qui signifie grain.
Soie grège dont les fils sont formés de deux bride soie d’abord tordus
isolément, puis réunis par une seconde torsion.
Étoffe faite avec cette soie.
Nom masculin.
Origine incertaine.
Selon certaines sources, le mot serait issu de l’arabe « nafi » de
l’expression « nafi li-ss-sadr » qui signifie utile pour la poitrine.
Selon d’autres sources « nafé» serait emprunté au persan « nafeh » qui
signifie vésicule de musc, à rapprocher de l’arabe
« nafah » qui signifie odeur.
Fruit de la ketmie, utilisé dans la composition de certaines pâtes pectorales
et de sirops contre la toux.
Nom masculin.
Issu très probablement de l’ancien français « aliboron » nom de plante à
rapprocher du français « hellébore » emprunté au latin « helleborus »
lui-même emprunté au grec.
Cette plante était considérée comme un remède universel. Elle é été
associée au mot « maistre » qui désignait les médecins, puis par
évolution normale, aux savants et hommes habiles à tout faire, qui font
exactement partie de ceux qui se mêlent de tout sans rien
faire d’utile.
Une autre hypothèse fait naître « Aliboron » d’un contresens commis par
l’irlandais Jean Scot, au IXème siècle qui dans son commentaire sur
Martianus Capella, interpréta le nom de la plante « elleboro » comme le nom d’un
philosophe de la même secte
que Carnéade.
Une troisième hypothèse fait de Aliboron, la transposition du nom du
philosophe arabe « Al-biruni.
Les deux dernières hypothèses n’expliquent pas l’évolution sémantique
de « philosophe » à « personnage qui fait tout et ne sait rien », « âne ».
1- (Maître) aliboron
Sot personnage qui se croit habile, en toutes choses et ne connaît rien.
En particulier, dans un sens littéraire
Surnom de l’âne.
2- Dans une langue familière
Personne stupide et prétentieuse. A rapprocher du sens figuré de âne.
Nom féminin.
Emprunté au moyen néerlandais « goedale » qui signifie proprement bonne
bière avec substitution du suffixe péjoratif « -aille » à la finale
« -ale » qui est encore vivante dans certains parlers régionaux.
Dans une langue populaire
Débauche de table et de boisson.
Par exemple: « ne craignez-vous pas qu’elle [la fête] dégénère comme
les autres en réjouissances publiques, en godailles…? » (Maurice
Barrès, Cahiers, tome 12, 1919)