Nom masculin ou féminin.
Du grec « eizitherion » qui signifie ticket ou billet et « philein » qui
signifie aimer.
Collectionneur ou collectionneuse de titres de transport ( métro, bus, train,
avion…).
Nom masculin ou féminin.
Du grec « eizitherion » qui signifie ticket ou billet et « philein » qui
signifie aimer.
Collectionneur ou collectionneuse de titres de transport ( métro, bus, train,
avion…).
Nom féminin.
« Leghorn » est la version anglaise de
« Livourne ».
Race de poule obtenue en Amerique à partir de la sélection d’une poule de
Livourne qui a les pattes jaunes et a la particularité d’être une excellente
pondeuse d’œufs blancs.
C’est une des poules les plus répandues dans le monde.
Nom féminin
Emprunté au latin « mensa » qui signifie nourriture, table.
1- Dans un sens vieilli, littéraire et rare
Table où l’on mange.
Par exemple: « …la mense hospitalière ». Chateaubriand, Martyrs, tome 1,
1810.
2- Histoire ecclésiastique
Revenu affecté à la table d’une communauté religieuse, de l’abbé, de
l’évêque.
Par extension
Droit canonique
Masse de biens attribués à un prélat ou à une communauté ecclésiastique.
– Mense abbatiale
Part de l’abbé.
– Mense capitulaire
Biens revenant aux membres du chapitre.
– Mense conventuelle
Lot des moines et des offices claustraux.
– Mense épiscopale
Portion assignée à l’évêque dans le partage des biens de son église.
Nom féminin.
De l’ancien français « esthamme » par le latin « stamen » (et le grec «
staméné » qui signifie chaîne de tisserand) qui signifie chaîne [du métier
vertical des tisserands anciens], ourdissure, fil de quenouille, toute espèce
de fil.
Ouvrage de fils de laine passés, enlacés par mailles les uns dans les autres.
Par exemple: « des bas d’estame ».
Nom féminin.
Du latin « mensura » qui signifie mesure
Ce combat permet de se mesurer à autrui.
Duel au sabre chez les étudiants allemands et autrichiens.
Combat d’escrime à armes réelles, strictement réglementé par la loi.
Les parties vitales des combattants sont protégés par de la cotte de maille,
du cuir ou du kevlar.
Nom féminin.
De l’anglais « compersion ».
Le mot a été forgé par la communauté californienne Kerista dans les années
70.
Les hypothèses étymologiques évoquées ne sont pas validées par cette
communauté. Par conséquent, l’origine étymologique reste incertaine.
1- Bonheur ressenti lorsqu’un être aimé aime quelqu’un d’autre, par
opposition à la jalousie.
2- Sentiment ressenti lorsque son partenaire manifeste de la joie ou du bonheur.
Par extension
Bonheur que l’on peut éprouver lorsqu’on est témoin du bonheur ou de la
joie de quelqu’un d’autre.
Nom masculin.
De « Flandres »
Linguistique
Trait linguistique de la langue française en Belgique et du patois du Nord de
la France, emprunté au flamand ou au néerlandais de Belgique et parfois au
bruxellois.
Il peut s’agir de particularismes lexicaux
( mots, expressions, acceptions), de la prononciation ou de la grammaire.
Voici des exemples:
« Faire blinquer » vient du néerlandais « blinken »et signifie faire
briller.
« Douf » chaleur étouffante ( il fai douf ici!)
« Zieverèèr » vient du néerlandais
« zeveraar » et signifie blablateur. Du verbe « ziverer », dont le
déverbal « zîverderâ » désigne des bêtises, des vantardises.