Nom masculin.
De l’argot japonais de l’ère Meiji (1868-1912). Issu de de
« tsunde-oku » qui désigne un empilement laissé pour une utilisation
ultérieure et de « dokusho » qui signifie lecture.
1- Désigne l’accumulation sous forme de piles de livres qui ne sont jamais lus.
Désigne aussi les livres prêts à être lus alors qu’ils sont sur une étagère.
Tel qu’il est transcrit le mot combine les kanjis pour désigner le
fait d’accumuler et le fait de lire.
2- Désigne un syndrome consistant à acheter des livres et à les
entreposer autour de soi sans les lire.
Par exemple: « Tsundoku: vous êtes passé maîtres dans l’art d’empiler
les ouvrages sans les lire! »Télérama, 19 mars 2015.